Le congé parental touche à sa fin, il n’y a plus de place à la crèche, la nourrice est une solution alternative à laquelle s’attellent la plupart des parents. La nounou est cette personne qui passera dix heures par jour avec son bout de chou. Certains parents ressentent un sentiment d’abandon, d’insécurité et parfois de jalousie face à cette situation, ce qui rebute la recherche. Dès lors, comment trouver la perle rare ? Réponses.
Où trouver la nounou parfaite ?
Dans la plupart des grandes villes, la recherche de nourrice est une tâche ardue puisque l’offre est en générale inférieure à la demande. Les points de recherche sont toutefois nombreux. Pour ne pas laisser passer sa chance, il ne faut en écarter aucun. La valeur sûre, c’est de faire appel aux professionnels tels que Assadia Rueil. Ils ont un bon répertoire de nounous expérimentées.
En outre, il est également possible d’utiliser les moyens classiques comme le bouche-à-oreille, en abordant par exemple les nounous au parc. On peut également utiliser son réseau de connaissance, recruter l’ancienne nounou de son voisin ou faire une garde partagée avec d’autres enfants de la famille, etc. Néanmoins, il existe des plateformes dédiées à la prospection. Ce sont les organismes publics tels que le Relais Assistantes Maternelles (RAM), la Protection maternelle et infantile (PMI) ou le Centre communal d’action sociale (CCAS). Il suffit de s’adresser à ces plateformes. Sinon, il y a également les pôles emploi mais également les petites annonces.
Quels paramètres considérer pour choisir sa nourrice ?
Au préalable, il faut déjà être clair sur le profil recherché et les attentes envers la nourrice. Avant la chasse à la nounou, il faudra dresser une liste des attentes, qui seront axées principalement sur l’enfant et les horaires de travail. Le nombre d’enfants et leur âge seront les critères sine qua non. En fonction du caractère de l’enfant, qu’il soit difficile, turbulent, dépendant, sociable etc., il va falloir exiger les qualités suivantes chez la nounou : l’expérience, l’organisation et la gestion des imprévus. Ainsi, plus l’enfant sera en bas âge et à caractère difficile, plus il faudra exiger une solide expérience et une rigueur de travail.
Dans un second temps, la disponibilité sera également un critère capital. Cela se conviendra par rapport à l’absence des parents. L’horaire, la durée par jour ainsi que la fréquence par semaine en seront fixés. Seulement, il faudra prévoir de surcroît la disponibilité de la nounou en cas d’imprévu lié par exemple à l’emploi du temps professionnel des parents. Par-dessus le marché, les parents devront revendiquer un CV pour faciliter le tri à ce niveau. Ainsi, les parents pourront procéder au premier tri et à un premier contact téléphone pour se convenir sur la date de l’entretien d’embauche.
L’entretien : Poser les bonnes questions
Après le tri des CV et l’entretien téléphonique, nous arrivons à l’étape ultime : l’entretien d’embauche. Il est circonspect de mener l’entretien à deux pour pouvoir confronter les points de vue. Puis, une liste de questionnaires doit déjà être préétablie. Il y a tant de questions aussi pertinentes les unes que les autres, questions qui se tourneront autour des expériences passées ainsi que des qualités et des défauts de l’intéressé.
Il est aussi judicieux de poser des questions plus subtiles et concrètes. On peut par exemple demander comme elle gère l’enfant quand il est malade, comment elle gère les imprévus, comment elle occupe l’enfant au parc, comment s’organise une journée type à la maison, etc. Les parents devront dès lors faire appel à leur bon sens pour juger ce que révèle le dialogue sur la candidate : son caractère, son attitude, ses qualités professionnelles, sa motivation, ses contraintes, son salaire, etc. Pendant l’entretien, il faudra maintenir toute son attention et laisser parler la candidate. Il va falloir donc être particulièrement taiseux.